plaide l’autre jour sa cause lui-même à huis clos devant un auditoire de confrères qu’il a fait fondre en larmes, « recommençant enfin, comme il le dit, à redevenir quelqu’un ». Ce que je vous demande, Princesse, c’est de lui accorder une demi-heure et de l’entendre (ce qui peut seulement transmettre la vraie sensation) : il a espoir en vous ; je lui ai presque promis que vous y consentiriez. Des adversaires, des ennemis cherchent à exploiter sa situation, et l’injustice dont il a été l’objet, et la victime : il a le bon esprit d’y répugner, d’y résister.
Peut-être, chez moi, pourriez-vous le rencontrer comme par hasard ou du moins plus commodément.
Je suis à vous, Princesse, avec bien du respect et de l’attachement.
CLX
C’est donc à mercredi prochain, ma fête, n’est-ce pas ? J’écris un mot à M. de Nieuwer-