tement. La rue de Courcelles est au bout de mes rêves.
Je mets à vos pieds, Princesse, l’hommage de mon tendre et inviolable attachement.
CCXL
J’ai vu de nos amis et j’ai eu plus d’un écho du mercredi, Flaubert, Gautier… C’est quelque chose de ce que je n’ai plus, de ce que je n’ai pu retrouver encore. Je m’exerce chaque jour à marcher vers six heures, et il me semble que je fais quelque progrès. On me fait espérer que la Princesse veut bien penser à venir : j’ose la prier que ce ne soit pas demain vendredi, ayant à quatre heures une visite annoncée que je n’ai pas été libre d’éluder et qui me gâterait mon plaisir. Car j’aime à le prendre seul, ayant tant de questions à faire, tant à écouter, et jaloux de reprendre un à un, autant que possible, chaque fil du passé.