Page:Sainte-Beuve - Nouveaux Lundis, tome 8, 1885.djvu/245

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iBoâi l&JQUtal 1894. MADAME ROLAND SES LEIIIKS A BOZOT PuBLriBS PAR M. 0AUBAir (1). — Éditton de IL FACQÈRB. {^). (fxriTsaT Fiir.) I. Il y a une littérature contemporame et congénère de l’art de David ; elle fut très-courte de durée et trèsr mélangée : tout marchait si vite alors ! Si, hier encore, en ne savait trop où la prendre dans quelque exemple net et distinct, les Lettres de M’"^’ Roland à Buzot nous en offrent aujourd’hui l’expression la plus haute et la plus pure. (1) A la suite de VÉtude sur M""* Rolande (2) Deux vol. !n-18, librairie Hachette.

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