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Page:Sainte-Beuve - Nouveaux lundis, tome 12.djvu/50

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Mardi 26 janvier 1860.

ESSAI SUR TALLEYRAND

PAR Sm HENRY LYTTON BULWEB

ancien ambassadeur

Traduit de l’anglais par M. GEORGES PERROT (1) (suu-n.)

Le devoir de la critique dans tout sujet est avant tout de l’envisager sans parti pris, de se tenir exempte de Iaréventions, fussent-elles des mieux fondées, et de ne pas sacrifier davantage à celles de ses lecteurs. (1) Un volume in-8°, chez Reinwald, libraire-éditeur, rue des Saints-Pères, 15. — J’ai dit, après beaucoup dhutres, que c’était par suite d’un accident et dès sa première enfance que M, de Talleyrzmd était boiteux g mais la vérité en tout, avec de tels hommes, est difficile à savoir. Däxprès le témoignage d’un abbé-comte de l’ancien régime, cousin de M. de Tulleyrand et qui avait été de ses camarades et collègues à‘ Saint-Sulpice, à Reims et ailleurs, il paraîtrait qu’il était pied bot et qu’il y ayeit toujours eu un pied bot dans la famillé Ceci même expliquerait qu’on en eut fait mystère. »