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Lundi ‘2’mai X864.

LE

MÀRIAGE DU DUC POMPÉE

PAR

M. LE COMTE DUÀLTON-SHËËE.

Il y a quelques mois (le 15 décembre dernier), la Revue des Deuafilfondes insérait cette comédie ou étude dramatique qui a été lue avec intérêt, dont se sont occupés quelques critiques compétents et qui m’a laissé un agréable souvenir. J’arrive un peu tard pour en parler, et sans autre dessein que de mettre par écrit quelques réflexions que m’avait suggérées une première lecture et qu’une seconde vient de confirmer. Tignore si la pièce qui m’a fait plaisir est susceptible d’être représentée à la scène ; je suis très-peu juge de la différence qui existe entre un drame fait pour rester écrit et un drame jouable ; un spectacle dans un fauteuil me suffit très-bien, à défaut d’autre : je m’attacherai