Page:Sainte-Beuve - Portraits littéraires, t3, nouv. éd.djvu/506

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ter et de faire disparate en plus d’un lieu ; il y aurait eu certainement moyen, sans rien altérer, de mieux fondre. En nous permettant, même en ce moment, cette libre critique, nous avons voulu témoigner l’entière sincérité de notre jugement et nous maintenir le droit de dire bien haut, comme nous nous plaisons à le faire, que l’histoire de Rosa et Gertrude est une des lectures les plus douces, les plus attachantes et les plus saines qui se puissent goûter.

1er  octobre 1846.