Aller au contenu

Page:Samain - Œuvres, t2, 1921.djvu/158

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
146
ŒUVRES DE ALBERT SAMAIN



Mais non, c’est la débauche en sa louche taverne
Qui t’attise à ses yeux brûlés que le plomb cerne,
Et souffle en ricanant ton pur flambeau d’orgueil ;


Ou bien c’est la câline et mortelle paresse,
Ensorceleuse pis qu’une vieille maîtresse,
Qui te couche à son lit drapé comme un cercueil.