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Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 2.djvu/287

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« Regarde cet oiseau, il navigue sans effort et sans aucune science, grâce à sa forme élégante. Sa poitrine gonflée fend les ondes et tout son corps allongé et finement arrondi semble destiné à surnager, quelque vent qui le pousse.

« J’ai déjà remarqué cela, dit Évenor, et je veux donner à mon ouvrage la forme du cygne qui est encore plus belle. Faire flotter un corps sur la mer ne me paraît pas difficile ; mais comment le dirigerons-