Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/132

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autres à montrer son visage couvert de honte et de dépit.

— « C’est moi, dit-il, qui ai vu cet esprit en rêve et qui ai reçu de lui les ordres que j’ai transmis à mes frères ! Si tu es ce même esprit, revêtu d’une forme plus douce et porteur de paroles plus belles, je suis prêt à te rendre hommage. Je vois à tes armes brillantes, faites d’une matière inconnue, que tu nous apportes la guerre. Donne-nous donc à tous des armes comme celles-