Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/241

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égale sur la terre, le farouche Sath se sentit un moment vaincu et intimidé. Il parut même adouci, et promit de réfléchir.

Mais, à peine les époux se furent-ils retirés, que Sath alla retrouver ses compagnons :

— « J’ai vu la femme d’Évenor, leur dit-