Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/249

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s’efforce d’en réunir d’autres que nous pour la résistance ; mais nous ne pouvons espérer d’atteindre un nombre égal à celui des libres. Donne-nous donc confiance et courage, car il nous faudra peut-être mourir en défendant Lith et Leucippe, et il faut que, du moins, notre dévouement leur soit utile.

— Ô Dieu ! dit Leucippe, serai-je donc la cause de cette lutte fratricide ? Je te l’ai dit, Évenor, il faut fuir. »