Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/92

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joie qui ne me viennent pas de moi-même, ni d’aucun homme que je connaisse, ni d’aucune chose qui me trouble ou me charme. Je sens qu’il y a un esprit qui parle à quelque chose de moi qui n’est pas mon corps tout seul. Peut-être sommes-nous tous des esprits inférieurs, commandés par un esprit plus grand et plus fort que nous.

— Tu l’as dit, s’écria Mos, surpris d’une révélation qui ne lui était pas venue, ou