Voir page de discussion
tout à l’heure des femmes qui ne doivent pas attaquer, à cause de leur impunité dans certains cas, serait applicable relativement à certains hommes. Je suis bien persuadée que vous ne lisez pas le journal de la préfecture : vous êtes de trop bonne compagnie pour cela. Pourtant cela rentre dans les nécessités désagréables de votre administration, et, si vous ne lavez pas de temps en temps la tête à vos gens, ils feront mille maladresses.
Agréez mes explications, monsieur le préfet, avec le bon goût d’un homme d’esprit ; car, lorsque je me permets de vous écrire ainsi, c’est à M. Leroy que je m’adresse, et le collaborateur de l’Éclaireur n’y est pour rien, vous le voyez, non plus que M. le préfet de l’Indre ; nous parlons de ces personnes-là ; mais celle qui a l’honneur de vous présenter ses sentiments les plus distingués c’est
CCXLIV
À M. XXX…, CURÉ DE XXX…
Malgré tout ce que votre circulaire a d’éloquent et d’habile, malgré tout ce que la lettre dont vous m’ho-