un procès ; mais je serais certaine de le gagner. Il faudrait seulement pouvoir lancer brusquement la chose avant d’en être empêchée. La chose faite, avec la réserve, l’annonce même, dans une préface, que si, les héritiers de l’écrivain non nommé, reconnaissent le style et veulent voir les autographes, on leur abandonnera le profit avec empressement, je doute qu’ils pussent faire interdire la vente. Je crois que cela peut se faire par moi pendant ma vie, ou après, par disposition testamentaire. Si c’est pendant ma vie, je ne nommerai personne et le public n’en comprendra que mieux. Si c’est après ma mort, on pourra nommer.
Que vous semble de mon idée ? Je consulterai M. Delangle et d’autres, et je vous dirai leur avis.
J’irai voir votre gamin avec plaisir.
CDXLIX
À SON ALTESSE LE PRINCE NAPOLÉON (JÉRÔME),
À PARIS
Je vous remercie de cœur : avec vous, on est obligé