quatre, et contenait la note que voici, écrite au crayon, en abrégé :
« La Flav. de Malc. Surv, nuit et j. — Isol. la coq. »
Ce qui, après mûre réflexion, m’a paru ne pouvoir être traduit que par ces mots :
« La Flavie de Malcolm. Surveiller nuit et jour. Isoler la coquette. »
Eh bien, Robertine, qu’en dis-tu ? Ce n’est plus là une si grosse énigme. J’en tiens le mot, et il est aigre : La coquette ! Il faut la surveiller nuit et jour… l’isoler !
Comment s’y prendront-ils ? Je voudrais bien le savoir !
N’importe : cet aimable Malcolm a confié ses peines d’amour, soit par un dévouement puritanesque, soit par quelque intérêt personnel que j’arriverai peut-être à savoir. Le confident a conseillé l’éloignement et promis de me surveiller. Il s’est établi près de moi et il interprète mes