cun ordre. Il te faut une voiture. Je t’en envoie chercher une.
— Ce sera bien long, mon prince ; dans ce quartier-ci, à deux heures du matin, on n’en trouvera pas.
— Eh bien ! je te reconduirai moi-même à pied ; mais rien ne presse. Il faut que tu me jures de quitter ton sot amant.
— Non, je ne veux pas vous jurer ça. Je n’ai jamais quitté une personne par préférence pour une autre ; je ne me dégage que quand on m’y oblige absolument, et je n’en suis pas là avec Guzman.
— Guzman ! s’écria Mourzakine en éclatant de rire, il s’appelle Guzman ?
— Est-ce que ce n’est pas un joli nom ? dit Francia interdite.
— Guzman, ou le Pied de mouton ! reprit-il riant toujours, on nous a parlé de ça là-bas. Je sais la chanson : Guzman ne connaît pas d’obstacles !…
— Eh bien ! oui, après ? Le Pied de mouton n’est