Page:Sand - Isidora - Narcisse (Levy).djvu/292

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ment, sinon de nous défaire de nos vieux chevaux, qui sont parfois de fidèles amis, ce qui serait par trop romain, du moins, aussitôt que nous aurons à les renouveler, d’aller en Brenne, afin d’encourager nos frères les cultivateurs de la plaine, et de pouvoir dire avec fierté : « Berrichon je suis, et mon cheval aussi. L’un portant l’autre, nous irons vite et loin. »


GEORGE SAND.
FIN.