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Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 1.djvu/165

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les vers de Faust, ou bien ouvre tes livres, et redis-moi les souffrances d’Oberman, les transports de Saint-Preux. Voyons, poëte, si tu comprends encore la douleur ; voyons, jeune homme, si tu crois encore à l’amour.

— Hélas ! Lélia, s’écria Sténio en tordant ses blanches mains, vous êtes femme et vous n’y croyez pas ! Où en sommes-nous, où en est le siècle ?