sement et ne pouvait pas être une occupation ?
— Vous avez raison, Madame, répondit Trenmor à voix basse et en lui serrant la main d’un air triste ; c’est Lélia qui a perdu ce jeune homme.
— Venez-vous ici pour le chercher, pour l’enlever à nos fêtes, pour le ramener à une vie de réflexion et de repos ? reprit Pulchérie. Aucun de nous ne s’y opposera. Moi qui l’aime encore, je serai reconnaissante si vous le sauvez de lui-même, si vous le rendez à Lélia et à Dieu.
— Elle a raison, s’écrièrent tous les compagnons de Pulchérie. Emmenez-le, emmenez-le ! Sa présence nous attriste. Il n’est pas des nôtres, il a toujours été seul parmi nous, et en partageant nos joies il semblait les mépriser. Allons, Sténio, éveille-toi, rajuste ton vêtement et laisse-nous.
Mais Sténio, sourd à leurs clameurs, restait immobile sous le poids de ces vœux in-