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Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 2.djvu/221

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à Trenmor, soupira profondément en s’éloignant, et retourna au banquet où la joie régnait désormais plus vive et plus bruyante.

— Une autre fois, dit Marino à Zinzolina, en lui rendant sa coupe, tu ne prêteras plus, j’espère, cette belle coupe à ton ivrogne de Sténio. C’est une œuvre de Cellini, elle a failli être gâtée dans sa chute.