Jamais. Et c’est le soin qu’il prend de ne jamais se laisser pénétrer qui me fait croire à une jeunesse douloureuse, tragique peut-être ! C’est cela qui m’intéresse à lui et qui met une sorte de tendresse dans le respect qu’il m’inspire.
Toujours le roman !
Vas-tu dire comme Marcus ! Il ne peut pas souffrir monsieur Maxwell.
Il en est peut-être jaloux ?
Marcus jaloux ? quelle plaisanterie !
Le voilà qui vous cherche. Je retourne auprès de madame.
J’y vais avec toi !…
Pourquoi ces caprices, à présent ? Enfants, vous étiez inséparables, vous vous amusiez si bien ! Et quand vous n’êtes pas fantasques, vous avez encore ensemble de ces bons rires qui réjouissent l’oreille de la bonne-maman.
Et qui me rendent plus triste, moi, quand il est parti. Il y a entre lui et moi beaucoup de souvenirs gais, nous n’avons pas un souvenir tendre ! (Tristement.) Allons ! je vais beaucoup rire, sois contente !