tian Waldo, que je ne connais pas du tout, ait la bravoure, l’esprit, le cœur généreux qu’on lui attribuait ici tout à l’heure, avec la misère, qui doit être la compagne fidèle de ses aventures, et un nom qu’il n’a pris, je suppose, en vertu d’aucun parchemin…
— Et avec sa tête de mort ?
— Non, sans sa tête de mort. Eh bien, je suppose que, pour vous marier, vous soyez forcée de choisir entre ce personnage et le baron de Waldemora ?
— Je prendrais un parti bien simple, qui serait de ne pas me marier du tout.
— À moins que l’on ne découvrît sous le masque de ce Christian un jeune et beau prince, forcé par la raison d’État de se cacher ?
— Vous m’en direz tant ! répondit Marguerite ; un nouveau czarévitch Yvan évadé de sa prison, ou un autre Philippe III échappé à ses assassins !
— Auquel cas, apocryphe ou non, il obtiendrait grâce devant vos yeux ?
— Que voulez-vous que je vous réponde ? Un bouffon italien n’est vraiment pas un point de comparaison quand il s’agit de parler sérieusement.
— C’est trop juste ! répliqua Cristiano ; mais voici le finale ; qu’il nous soit léger, car c’est la pelletée