scriptum que je ne voyais pas… et que je comprends encore moins.
« J’ai à vous faire compliment de la bonne tournure et de l’esprit de votre neveu… »
— Mon neveu ! Je n’ai pas de neveu ! Est-ce qu’elle est folle, la comtesse ?
» Pourtant, cet esprit lui a fait défaut d’une fâcheuse manière, et son algarade mérite bien que vous lui laviez rudement la tête !… Nous parlerons de cela, et je tâcherai de réparer ses folies, j’aurais bien envie de dire ses sottises !… »
— Son algarade, ses sottises ! Il paraît qu’il en fait de belles, monsieur mon neveu ! Mais où diable prendrai-je ce gaillard-là pour lui laver la tête ?
— Hélas ! monsieur Goefle, vous n’irez guère loin, dit Christian d’un ton piteux. Comment ne devinez-vous pas que, si j’ai pu m’introduire sans masque dans le bal de cette nuit, ce n’est certainement point le nom de Christian Waldo qui aurait pu m’ouvrir la porte ?
— Je ne dis pas le contraire ; mais alors c’est donc sous le nom de Goefle… ?
— Mon invitation était sous cet honorable nom, dans ma poche.
— Ainsi, monsieur, dit M. Goefle d’un ton sévère, et avec des yeux brillants de courroux, vous ne vous