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LUPO.
Et à la vôtre. Les gens qui vous devaient de l’argent l’ont rendu, et je vous l’apporte, (à part.) Hélas ! rien !
LIVERANI.
Garde-le, je n’en ai que faire, puisque tu veilles à tous mes besoins avec tant de tendresse.
LUPO, tristement.
Vous êtes donc content de moi ?
LIVERANI.
Dieu m’a béni entre tous les pères, puisqu’il m’a donné un fils tel que toi, l’honneur de ma race et la joie de mon cœur.
LUPO.
Hélas !
LIVERANI.
Qu’as-tu ?
LUPO.
J’admire avec quel courage et quelle douceur vous supportez cette cruelle infirmité.
LIVERANI.
J’en ai été jadis effrayé pour toi, dont je me suis vu comme séparé à l’âge où, entrant dans