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III
Sylvinet ne voulut point entendre à cela ; quoiqu’il eût le cœur plus tendre que Landry pour son père, sa mère et sa petite Nanette, il s’effrayait de laisser l’endosse à son cher besson.
Quand ils eurent bien discuté, ils tirèrent à la courte paille et le sort tomba sur Landry. Sylvinet ne fut pas content de l’épreuve et voulut tenter à pile ou face avec un gros sou. Face tomba trois fois pour lui, c’était toujours à Landry de partir.
— Tu vois bien que le sort le veut, dit Landry, et tu sais qu’il ne faut pas contrarier le sort.