Page:Sand - Les Beaux Messieurs de Bois-Dore vol1.djvu/338

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— Ce cagot, disait-il, puisqu’il nous tient pour païens et idolâtres, se sera imaginé que nous rendions un culte à ces statues ! Et pourtant, Adamas, elles sont toutes pudiques et décemment vêtues, comme il convient qu’elles soient en un lieu où se promènent nos enfants !

— Je dirais avec vous que c’est quelque bigot qui a bien plus clairement l’envie scélérate de faire gronder M. le comte. Or, tout le monde ici se ferait tuer pour lui, tant on l’aime, hormis une personne détestable…

— Non, non, Adamas ! reprenait le généreux marquis. C’est impossible ! Ce serait trop odieux de la part d’une personne du sexe.

On commençait à oublier cette grosse affaire, lorsqu’il en arriva une pire.



FIN DU TOME PREMIER