Page:Sand - Mauprat.djvu/356

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mourir de cette terrible maladie. Je m’approchai du lit. L’abbé était si consterné qu’il ne songea point à m’en empêcher. Je pris la main d’Edmée, toujours insensible et froide. Je la baisai une dernière fois, et, sans dire un seul mot aux autres personnes, j’allai me livrer à la maréchaussée.