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sante à expliquer : c’est vous ou moi qui en sommes la cause, car je tiens pour sûr que ce ne peuvent pas être tous les deux.
« — Patron, lui répondis-je, en affectant une grande candeur, vous savez mieux que personne que ce ne peut être moi.
« — Eh bien ! me dit-il en me donnant un soufflet et un coup de pied dans le dos, vous en avez menti : car si ce n’est pas vous, c’est moi ; or, je suis soprano, donc vous ne l’êtes pas, donc vous avez séduit ma femme. Sauvez-vous, ou je vous arrache les oreilles.
« Le boucher l’aurait fait comme