Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome II, 1831.djvu/117

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hors celui de son état. Il traduit les psaumes en vers musqués ; il fait des sermons romantiques ; il rossinise l’air de la messe. On cite de lui des mots que n’eussent pas désavoués les abbés du bon temps ; mais il n’y a pas, dans tout son phébus, un seul grain du bon sens que possède notre joli abbé de R*** Allez, celui-là ne sera pas, à quarante-cinq ans, curé d’une ville de quatre mille âmes, ou bien l’église triomphante sera écroulée.

— Je ne vois, parmi ces oiseaux noirs, qu’une figure franchement bonne, dit Rose ; c’est celle du curé de ce village.

— C’est toujours comme cela, ré-