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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome II, 1831.djvu/124

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— Assez, qu’on le laisse reposer ! le malheureux, ajouta-t-il avec un soupir où les fatigues de la digestion entraient pour quelque chose, voyez ce que c’est que la fragilité humaine !