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dans mon cœur jusqu’à la chimère de l’ostentation : ils prétendirent qu’elle s’était réfugiée dans les guenilles que je porte. Ils me comparent à Diogène qui mendiait son pain, mais qui n’avait pas quatre-vingt mille livres de rente.
— Cette fois, dit Horace, vous m’avez conté l’histoire de la sottise humaine ; mais j’attends encore la vôtre. Permettez-moi de la désirer vivement, car je suis jeune, et si je suis condamné à vivre encore cinquante-cinq ans, je voudrais apprendre d’un homme de bien le secret de les supporter.
— Folie, mon cher ami. Nul ne peut donner son cœur pour mesure.