Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome II, 1831.djvu/219

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core, lorsqu’il s’étendit à son tour sur le lit ; un sommeil bienfaisant ferma presqu’aussitôt ses yeux fatigués d’une aussi longue veille à la clarté douteuse d’une mauvaise lampe ; et lorsque Laorens se réveilla, il reposait, heureux et calme. Laorens aperçut sur la table délabrée, un rouleau de pages écrites ; sur une petite feuille détachée étaient crayonnées ces lignes, surmontées du mot de préface :


« J’écris pour un lecteur ennemi du chagrin : je tâcherai d’être dans le mien aussi peu pédant que possible ; mais si je me condamne platement à raconter une turpi-