Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome II, 1831.djvu/45

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

qu’elle change de place et de posture, cela se dissipera par ces diversions. »

Rose, étonnée de se sentir rougir, tourna quelques feuillets et tomba sur ce passage :

« Mais, le vœu étant fait, il faut que vous ne permettiez jamais à personne de vous tenir aucun propos contraire, mais que vous ayez un grand respect pour votre corps, non plus comme votre corps, mais comme un corps sacré et une très-sainte relique ; et comme on n’ose plus toucher et profaner un calice après que l’évêque l’a consacré, ainsi le Saint-Esprit ayant consacré votre corps par ce vœu, il faut