Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/141

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« Ma chère dame, lui répondit-elle, il faudrait consulter mademoiselle de Beaumont ; mais je ne la connais pas. »

Mademoiselle Cazalès lui apprit que le lieutenant n’ignorait rien, et persistait dans ses intentions. Ce fut au tour de Rose à s’étonner.

« Eh bien ! dit-elle, après un instant de silence, c’est un homme de cœur, et je l’estime. Veuillez lui dire que je suis reconnaissante et que je me souviendrai toujours de lui ; mais je ne veux point me marier. »

Toutes les représentations de sa protectrice furent inutiles. Elle persista dans la résolution de se faire re-