Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/36

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de son lit de mort. Le dernier regard du pilote exprimait tant d’amour pour cette malheureuse enfant, tant de sollicitude pour son avenir, que Maurice comprit les craintes qui l’agitaient. « Je te le jure ! » s’écria-t-il, en couvrant de larmes le front livide et glacé du moribond… Lazare essaya de remercier, sa langue était morte, son œil s’éteignait, sa main se raidit. Une teinte de blancheur imperceptible passa lentement sur son visage décoloré. Il n’était plus.

Maurice, accablé de douleur, régla avec le triste Pérès la cérémonie des obsèques, et emmena Denise