Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/47

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vous me montrez sont en dehors de toutes les proportions raisonnables ? Je vous demande pardon, mademoiselle ; je me plains de votre beauté qui surpasse mon imagination…

« — Vous lui faites des complimens en pure perte. Elle ne vous comprend pas plus que mon chapeau.

« — Ah ! serait-ce votre idiote ? c’est une histoire qui fait plus d’honneur à votre cœur que le portrait de madame De… n’en fait à votre talent.

« — Entêté ! je vous vends tout l’héroïsme de ma vie pour un mot de justice et de vérité. Regardez cette fille, et dites-moi si c’est un monstre de beauté.