Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/11

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je fasse quelques avances à Clélie Ledru ? Ce soir vous verrez qu’elle sera brouillée avec toutes ses pareilles, afin d’être bien avec une de nous.

— Tais-toi donc, dit mademoiselle de Vergennes ; elle aura cinquante mille francs de rente en se mariant et trois fois autant par la suite. Mon frère fait beaucoup de dettes : son régiment le ruine. Tu verras que pour avoir un frère colonel de lanciers, il faudra que j’accepte Clélie Ledru pour belle-sœur.

— Alors, dit l’ironique Béatrix, tu feras comme Mathilde de Deuxponts, qui, pour faire acheter le silence à sa belle-sœur Justine Flagois, sur certaines anecdotes ridicules ar-