Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/158

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Ce ton énergique déplut beaucoup à monseigneur de V*** ; peut-être avait-il mal digéré son chocolat : — Mon cher abbé, dit-il en s’efforçant de prendre un ton à la fois bienveillant et digne, nous admirons de tout notre cœur la délicatesse de votre prudence, mais nous pensons que vous avez trop d’égard aux faiblesses de vos pénitentes ; nous avons été directeur de cette sainte maison et de plusieurs autres dont nous sommes aujourd’hui supérieur électif. Nous osons donc nous croire compétent pour ces sortes de cas de conscience, et dire que nous avons quelque expérience de la vocation, des marques