Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/232

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ces gens-là ; qu’elle vienne… allons donc, la nonne !… vous avez beau me regarder et faire de grands signes de croix ; ni vos signes, ni vos regards ne feront tomber Rose dans mes bras… de l’activité ; que diable ! ou j’irai la chercher moi-même…

Et tout en parlant de la sorte sous ce plafond, entre ces murs habitués à n’entendre que de saintes paroles, la dame jetait des regards de dédain et de surprise sur tout ce qui l’entourait, et se promenait en se donnant des airs de princesse, et en faisant voler au nez de l’écouteuse, les pointes de son schall dont elle se drapait à la Romaine. Pour l’écouteuse, elle ne