Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/254

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mademoiselle Cazalès, et c’est à elle seule que nous devons en rendre compte.

— Mademoiselle Cazalès n’a pas de droits sur elle : j’avais cédé les miens à son frère, mais c’était à condition qu’il rendrait ma fille heureuse…

— Assez, madame, assez, s’empressa d’ajouter madame de Lancastre, qui craignait une explication plus scandaleuse encore que la scène qui se jouait devant elle : nous en reparlerons.

— Et il la laisse dépérir ! continuait la Primerose : elle se meurt, et il l’abandonne ! Viens, Rose, viens, ma fille : tant que je verrai le