Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/94

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— Quoi donc, s’écria Rose épouvantée !

— Dieu me refuse la grâce.

— Ah ! voilà encore quelque scrupule absurde !

— Non, Rose ; ce n’est pas un scrupule, c’est un mal affreux, c’est un combat perpétuel que j’affronte depuis six mois, et aujourd’hui la force me manque. Elle fondit en larmes.

Rose l’avait souvent vue pleurer pour des maux bien petits qu’elle se faisait très-grands. Elle ne s’inquiéta donc pas beaucoup de ses larmes, mais elle s’en affligea.

— Qui donc sera heureuse, si ce n’est toi, lui dit-elle ? Toi dont