Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/128

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remercia de sa visite. Puis il lui témoigna l’impatience d’être seul avec lui et avec sa sœur qui ne l’avait pas quitté de la nuit, et dont les soins chaleureux l’avaient pénétré d’une vive reconnaissance.

Mais quand ils furent tous trois enfermés, ce fut à qui n’entamerait point l’explication délicate. Horace était timide, l’abbé discret, et mademoiselle Cazalès, avide de comprendre l’étrange événement qui venait de la bouleverser.

Monsieur l’abbé, dit enfin Horace, vous m’avez témoigné hier l’intention de me voir ; sans doute vous m’apportez des éclaircissemens sur