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s’ouvrit lentement derrière sa tante. Une sueur froide parcourut son corps. Il s’attendait à voir paraître Denise ; mais ce n’était qu’une religieuse inconnue qui apportait un verre de tisane à la doyenne du couvent.
Si vous avez quelque question à faire, dit celle-ci à Horace, adressez-vous à cette bonne sœur, elle n’est pas sourde comme nous.
La personne chargée de répondre ne put éclairer M. Cazalès.
— J’ai bien entendu parler, dit-elle, d’une fille qui s’appelait Denise, mais je n’ai pas ouï dire qu’elle fût idiote. Ce qu’il y a de certain, c’est que depuis bien long-temps