Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/26

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religieuses transférées de Bordeaux dans diverses villes de France.

« Ainsi, écrivait-il à Laorens, alors à Rome, j’ai porté malheur à tout ce que j’ai voulu protéger, Denise est perdue ; Rose !… Rose a repoussé la main maudite ; elle a soustrait son existence au contact fatal de la mienne… Elle a mieux aimé suivre sa mère qu’elle méprisait, que de profiter de mon intérêt. Car j’ai été coupable aussi envers elle… Mon cœur l’avait adoptée, et cette fois j’espérais retrouver ma propre estime. Peu confiant dans ma force, j’avais éloigné Rose : je m’étais interdit toute relation avec elle ; mais, afin de ne jamais son-