Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/28

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avait reçue de Rose, et qu’il relisait souvent avec amertume. Nous en avons soigneusement conservé l’orthographe.


« Monsieur,

» Je vous dois une éternelle reconnaissance, et ce n’est pas pour m’en affranchir que je renonce aujourd’hui à vos dons. Ils m’eussent été prétieux, si vous ussiez dégné m’accorder un peu d’estime ou de bienvelliance. Mais vous m’avez fait du bien, parce que vous éties généreux, et non parce que j’avais exité votre intérêt. J’ai bien reconnu depuis que je n’en était pas digne, car vous m’avez