Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/47

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— Je lui en demanderai la permission, répondit-il.

— Quand ? dit le jeune amant de la danseuse. Cette nuit ?

L’avocat vint dire à Horace, le lendemain matin, qu’il n’avait pu obtenir le consentement de mademoiselle Coronari. Elle avait peu de temps à rester à Bordeaux, et ne désirait pas faire de nouvelles connaissances.

— Allons, vous êtes jaloux, dit Horace.

— Je n’en ai pas le droit, mon ami, je vous le jure, et pour vous le prouver, je ferai demain de nouvelles instances. La bonne Coronari était mal disposée ce matin. — Mais