gent de la part de son père.) Je prends sans compter, maître Fauveau, et en vous remerciant.
Je vois bien qu’il y a plus que nous prétendions. Mais si vous aviez regret.
Non, non ! Mon père est content de bien agir à votre endroit Rémy. (remettant l’argent à Claudie.) Or donc, vous êtes de braves gens, le bon Dieu vous conserve ! Je m’en vas au devant de la gerbaude !
Commandez moi donc ce que j’ai à faire pour vous aider, mère Fauveau.
Tenez, ma fille, si vous voulez laver le restant des vaisseaux, ça nous soulagera d’autant. Vous prendrez aussi les nappes et les couverts chez nous. (Elle lui montre la porte de gauche.) Et vous les porterez ici en face, dans le logement de la bourgeoise qui est plus grand que le nôtre.
Moi, je vas payer ces autres moissonneurs qui attendent. Va donc t’habiller, Sylvain ! il n’est que temps.
J’y vas, j’y vas, mon père.