moi. Que le bon Dieu la fasse heureuse, c’est tout ce que je demande.
(Il tombe dans la rêverie et s’arrête devant la porte où est entrée Claudie en regardant toujours si elle ne sort pas de chez la Grand’rose.)
Scène VIII
Bonjour, maître Sylvain Fauveau !
Salut, monsieur Denis Ronciat.
La bourgeoise est arrivée à la parfin ?
On le dit, je ne l’ai point vue.
J’ai entendu la musette, et je crois que la gerbaude n’est pas loin. Je vas l’attendre ici, car je suis diablement fatigué, et mon cheval pareillement. Voici la troisième fois qu’il fait la route de chez moi ici depuis ce matin.
Scène IX
Ce gars-là me bat froid. Il pense à épouser sa bourgeoise. Son père s’en flatte et me l’a donné à entendre. Mais plus souvent que des métayers qui n’ont rien me souffleront ce mariage-là ! Une belle dot et une belle femme ! grandement