tards ! Diantre !… Plantier, mon garçon, tâche que l’épreuve marche bien. Et toi. Reine, fais les honneurs ; car c’est ton avoir, tout ce qui est ici ! c’est ta propriété, c’est ta dot.
Sa dot ! Ah !… vous lui donnez toujours… ?
Tiens ! Ça vous étonne ? Est-ce que ce n’est pas pour l’établir que j’ai cédé cette bâtisse et construit cette machine ?
Alors, vous la mariez toujours avec mon enfant ?
Votre enfant ? Non certes, puisqu’elle l’a refusé, votre enfant ! Croyez-vous que je veuille la tyranniser, cette pauvre fille ? Elle aime Noël Plantier ? Eh bien, sainte Ursule, elle épousera Noël Plantier ! c’est un bon garçon, un solide ouvrier… Il n’y a pas grand mal, après tout ! Allez, mes enfants, réjouissez-vous, ça me consolera un peu !
Ah ! mais, cette fois, Suzanne…
Tais-toi, voilà le conseil qui entre.
Comment ! ma pauvre petite Reine, tu voulais t’en aller ? Pourquoi ne venais-tu pas à la maison ? Je t’aurais garée de la colère de ton parrain ! Mais Valentin…
Valentin ? Je ne l’ai pas vu !
L’imbécile ! Il ne sait rien faire à propos !