Tiens ! Voilà ton prince monténégrin, M. Lazarowitch Durandoio à cheval !
Ah !
Toujours le soupir aux lèvres ! Pauvre jeune homme ! Viens donc le voir, il est plus triste que jamais !
Es-tu folle ! Après ce qui est arrivé…
Quoi ! parce que mademoiselle Claire l’a prié de ne plus venir si souvent ?… Elle ne nous a peut-être pas défendu de le saluer !
C’est vrai !
Bonjour, monsieur. Vous allez en promenade ?
Hélas, oui ! mademoiselle ! je vais au bois !
Il va au bois !
Mauvaise !
Oserai-je vous demander comment se porte mademoiselle Jenny ?
Hélas ! elle ne va pas mal, monsieur.
Gabrielle !
Car elle est là, qui se cache derrière moi, pour que vous ne la voyiez pas !
Ah ! Adieu, mademoiselle !… Adieu ! (Il s’éloigne.)
La ! tu vois bien, tu l’as blessé avec tes railleries.
Il est trop triste aussi, ton Lazarowitch.